Dans certains cas, un arrêt de travail peut être prescrit.
Un nouveau rendez vous est fixé si besoin.
Le patient amènera le résultat de ses derniers examens.
Le médecin peut être amené à rédiger une ordonnance de médicaments.
Le patient doit en prendre connaissance et se procurer les médicaments. Il doit poser toutes les questions relatives au traitement qui pourraient lui venir et veiller à ne jamais manquer de sa médecine (avoir toujours des médicaments en réserve ou en avance).
Certains traitements nécessitent une surveillance particulière (diabète, anticoagulants oraux…). Là encore des prises de sang peuvent être prescrites.
Le patient sera très attaché à tous les effets qu’il pourrait ressentir avec ces médicaments mais il ne les arrêtera pas lui-même: il contactera éventuellement son cardiologue (par téléphone cela suffit dans ce cas), avant de modifier le moindre traitement ou de le supprimer et lui expliquera ce qui lui serait arrivé. Il y a pour le médecin beaucoup de possibilités pour s’adapter, et d’autres médicaments conviendraient sans doute mieux.
Arrêter un traitement sans en prévenir son médecin est un risque: la relation de confiance doit s’être instaurée, et elle vaut dans les deux sens. Le cardiologue comprend aussi les réticences aux médicaments de ses patients, et il fera de son mieux pour les satisfaire, et en échange.
Le médecin peut s’autoriser à conseiller son patient sur son mode de vie: c’est son travail, et sa vocation. Une relation véritablement humaine doit prendre place: l’échange, l’écoute, l’apprentissage l’un de l’autre sont possibles, et chacun s’efforcera d’être cordial, clair et ouvert.
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